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Depuis le 27 janvier 2016 les kinésithérapeutes peuvent prescrire des substituts nicotiniques

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Les kinésithérapeutes qui effectuent plus d’1,5 million d’actes par jour voient les patients à tous les âges de la vie. Grâce aux actes en série qu’ils effectuent, ils les connaissent bien  et ont, ainsi, le temps de communiquer avec eux.

Acteurs majeurs de la prévention, impliqués dans l’éducation thérapeutique, ils jouent un rôle essentiel dans la lutte contre le tabagisme, premier responsable de décès évitables en France.

Parce qu’ils participent à la réhabilitation cardiorespiratoire et qu’ils prennent en charge les patients atteints de BPCO (Broncho pneumopathie chronique obstructive), ils sont en première ligne pour participer à l’aide au sevrage tabagique. La possibilité de prescrire les substituts nicotiniques s’inscrit dans cette logique.