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FAQ Vaccination été 2021

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Les réponses à vos questions sur la vaccination contre le Covid-19

(Article mis à jour le 9 août  2021)

SOMMAIRE :

À qui est ouverte la vaccination ?

En juillet 2021, la vaccination contre le Covid est ouverte à toutes les personnes âgées de plus de 12 ans en France.

Elle est tout particulièrement recommandée pour les professionnels de la santé, les personnes à risques de formes graves et les femmes enceintes à partir du 2e semestre.


La vaccination contre le Covid-19 est-elle obligatoire ?

Oui. Tous les masseurs-kinésithérapeutes, salariés et libéraux, doivent être vaccinés contre le Covid-19, sauf contre-indication médicale reconnue. Il en est de même pour les personnes qui travaillent dans les mêmes locaux que les masseurs-kinésithérapeutes ainsi que pour les étudiants des instituts en formation en masso-kinésithérapie (IFMK). Ainsi, par exemple, un intervenant en activité physique adaptée salarié d’un masseur-kinésithérapeute libéral sera dans l’obligation de se faire vacciner contre le Covid-19, de même que les secrétaires s’ils sont salariés.

En revanche, les personnes chargées de l’exécution d’une tâche ponctuelle au sein des locaux dans lesquels exercent ou travaillent un masseur-kinésithérapeute ne seront pas dans l’obligation d’être vaccinées contre le Covid-19. Ainsi, par exemple, le personnel d’entretien qui vient nettoyer deux fois par semaine le cabinet d’un masseur-kinésithérapeute libéral ne sera pas dans l’obligation de se faire vacciner contre le Covid-19.

Un décret déterminera les conditions de vaccination contre le Covid-19 des masseurs-kinésithérapeutes, des personnes travaillant avec eux et des étudiants en IFMK et précisera les différents schémas vaccinaux ainsi que le nombre de doses requises pour chacun d’eux. Ce décret fixera également les éléments permettant d’établir un certificat de statut vaccinal pour ces derniers et les modalités de présentation de ce certificat sous une forme ne permettant d’identifier que la nature de celui-ci et la satisfaction aux critères requis. Il déterminera aussi les éléments permettant d’établir le résultat d’un examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par le Covid-19 et le certificat de rétablissement à la suite d’une contamination par le Covid-19. Nous ne manquerons pas de vous tenir au informés des modalités qui seront prévues dans ce décret lorsque celui-ci sera publié au journal officiel de la République française.

A compter du 7 août 2021 et jusqu’au 14 septembre 2021 inclus, les masseurs-kinésithérapeutes ne peuvent plus exercer leur activité s’ils ne sont pas en possession :

  • d’un certificat de statut vaccinal ;
  • ou d’un certificat de rétablissement suivi avant la fin de sa date de validité d’un certificat de statut vaccinal ;
  • ou d’un certificat médical de contre-indication ;
  • ou d’un justificatif de l’administration des doses de vaccins requises ;
  • ou du résultat, pour sa durée de validité, de l’examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par le Covid-19.

A compter du 15 septembre 2021, les masseurs-kinésithérapeutes ne peuvent plus exercer leur activité s’ils ne sont pas en possession :

  • d’un certificat de statut vaccinal ;
  • ou d’un certificat de rétablissement suivi avant la fin de sa date de validité d’un certificat de statut vaccinal ;
  • ou d’un certificat médical de contre-indication ;
  • ou d’un justificatif de l’administration des doses de vaccins requises.

A compter du 15 septembre 2021 et jusqu’au 15 octobre 2021 inclus, sont autorisés à exercer leur activité les masseurs-kinésithérapeutes qui, dans le cadre d’un schéma vaccinal comprenant plusieurs doses, justifient de l’administration d’au moins une des doses requises, sous réserve de présenter le résultat, pour sa durée de validité, de l’examen de dépistage virologique ne concluant pas à une contamination par le Covid-19.

À ce jour, la vaccination n’est pas obligatoire pour le grand public. 

Dois-je me faire vacciner si je présente une contre-indication ?

Non, bien sûr. Les personnes qui justifient, par la présentation d’un certificat médical, d’une contre-indication à la vaccination sont exemptées des obligations d’immunisation par cette vaccination.

Les contre-indications absolues à la vaccination sont rares. Les voici :

  • Les contre-indications inscrites dans le résumé des caractéristiques du produit (RCP) :
    •  antécédent d’allergie documentée (avis allergologue) à un des composants du vaccin en particulier polyéthylène-glycols et par risque d’allergie croisée aux polysorbates ;
    • réaction anaphylaxique au moins de grade 2 (atteinte au moins de 2 organes) à une première injection d’un vaccin contre le COVID posée après expertise allergologique ;
    • personnes ayant déjà présenté des épisodes de syndrome de fuite capillaire (contre-indication commune au vaccin Vaxzevria et au vaccin Janssen).
  • Une recommandation médicale de ne pas initier une vaccination (première dose) : syndrome inflammatoire multi systémique pédiatrique (PIMS) post-covid-19.
  • Une recommandation établie après concertation médicale pluridisciplinaire de ne pas effectuer la seconde dose de vaccin suite à la survenue d’un effet indésirable d’intensité sévère ou grave attribué à la première dose de vaccin signalé au système de pharmacovigilance (par exemple : la survenue de myocardite, de syndrome de Guillain-Barré…).
  • Les cas de contre-indication médicale temporaire faisant obstacle à la vaccination contre le Covid-19 sont :
    • Traitement par anticorps monoclonaux anti-SARS-CoV-2.
    • Myocardites ou péricardites survenues antérieurement à la vaccination et toujours évolutives.

 

Pourrais-je bénéficier d’un congé à l’occasion de la vaccination obligatoire ?

Les salariés, les stagiaires et les agents publics bénéficient d’une autorisation d’absence pour se rendre aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre le Covid-19. Une autorisation d’absence peut également être accordée au salarié, au stagiaire ou à l’agent public qui accompagne le mineur ou le majeur protégé dont il a la charge aux rendez-vous médicaux liés aux vaccinations contre le Covid-19.

Ces absences n’entraînent aucune diminution de la rémunération et sont assimilées à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par les intéressés au titre de leur ancienneté.

Suis-je en droit de demander un certificat de vaccination à mes patients ?

En l’état de la loi, non, d’autant que les patients des cabinets libéraux ne sont pas concernés par le pass sanitaire contrairement aux établissements médico-sociaux et des services et établissements accueillant des personnes vulnérables.

À quoi s’expose un kinésithérapeute libéral qui ne serait pas vacciné au 15 septembre ?

  • Sanctions du non-respect de l’obligation vaccinale contre le Covid-19

Pour les masseurs-kinésithérapeutes salariés et agents publics :

Lorsque l’employeur constate que le masseur-kinésithérapeute salarié ou agent public ne respecte pas son obligation vaccinale, il l’informe sans délai des conséquences qu’emporte l’interdiction d’exercer sur son emploi ainsi que des moyens de régulariser sa situation.

Le salarié ou agent public qui fait l’objet d’une interdiction d’exercer peut utiliser, avec l’accord de son employeur, des jours de repos conventionnels ou des jours de congés payés. A défaut, son contrat de travail ou ses fonctions sont suspendues.

La suspension du contrat de travail, qui s’accompagne de l’interruption du versement de la rémunération, prend fin dès que le salarié remplit les conditions nécessaires à l’exercice de son activité.

Cette suspension ne peut être assimilée à une période de travail effectif pour la détermination de la durée des congés payés ainsi que pour les droits légaux ou conventionnels acquis par le salarié ou l’agent public au titre de son ancienneté. Pendant cette suspension, le salarié ou l’agent public conserve le bénéfice des garanties de protection sociale complémentaire auxquelles il a souscrit.

Lorsque le contrat à durée déterminée d’un salarié ou agent public est suspendu, le contrat prend fin au terme prévu si ce dernier intervient au cours de la période de suspension.

Pour les masseurs-kinésithérapeutes libéraux :

Les ARS vérifient que les masseurs-kinésithérapeutes libéraux qui ne leur ont pas adressé les documents nécessaires pour justifier de leur obligation vaccinale ne méconnaissent pas leur interdiction d’exercer.

Lorsque l’employeur ou l’ARS constate qu’un masseur-kinésithérapeute (salarié ou libéral) ne peut plus exercer son activité depuis plus de trente jours puisqu’il ne remplit pas son obligation vaccinale, il en informe le Conseil national de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes.

La méconnaissance de l’interdiction d’exercer est punie de l’amende de 135 euros prévue pour les contraventions de la quatrième classe.

Le CNOMK prévoit-il des sanctions pour les kinés qui défendent des propos complotistes ou antivax ?

Cela ne saurait être exclu : Le code de déontologie le prévoit oui en son article  Art. R. 4321-87. – Le masseur-kinésithérapeute ne peut conseiller et proposer au patient ou à son entourage, comme étant salutaire ou sans danger, un produit ou un procédé, illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite.

À quoi sert la vaccination ?

D’après la Haute Autorité de Santé, selon les vaccins, les objectifs de la vaccination peuvent être de :

  • Se protéger soi-même : le bénéfice attendu du vaccin est individuel ; la personne vaccinée est protégée contre la maladie en cas de contact avec le virus, le vaccin permet d’éviter d’être malade ou de réduire la gravité de la maladie.
  • Protéger les autres : le bénéfice attendu du vaccin est collectif, à la fois pour la personne vaccinée et les personnes qu’elle rencontre ; le vaccin permet à la personne vaccinée d’être moins contagieuse quand elle est infectée par le virus, même si elle n’a pas de symptômes (le vaccin agit sur la transmission du virus).
  • Maîtriser la propagation d’une maladie : le bénéfice attendu du vaccin est collectif, le vaccin permet aux personnes vaccinées d’être moins contagieuses et si une très grande partie de la population est vaccinée, le virus circule moins dans la population ; il s’agit d’un enjeu de solidarité au bénéfice de tous.

Plus particulièrement, la campagne de vaccination du Covid-19 vise à :

– Réduire les formes graves et les décès dus au Covid-19;

– Maintenir les activités du pays et, en particulier, le système de santé en période de pandémie.

En mars 2021, les vaccins disponibles contre le Covid-19 ont démontré leur efficacité pour réduire le nombre de malades et le nombre d’hospitalisations.

Le vaccin protège t-il des nouveaux variants ?

Oui. La réponse immunitaire est basée sur les anticorps et les lymphocytes T. Ces deux parties de la réponse immunitaire sont induites par tous les vaccins autorisés en Europe. Les informations relatives à l’échappement immunitaire de certains variants sont issues d’expériences in vitro qui démontrent que certains anticorps (sur la panoplie de tous ceux induits par la vaccination) perdent de leur efficacité.

Cependant, comme la réponse humorale (anticorps) est polyclonale, c’est-à-dire dirigée contre une multitude de fragments de la protéine Spike, seuls ceux touchés par les mutations présentes dans les variants perdent de leur efficacité. Ce n’est donc qu’une portion de la réponse. Par ailleurs, cette perte d’efficacité correspond uniquement à la réponse humorale, car la réponse cellulaire des lymphocytes T n’est pas facilement évaluée en laboratoires de ville. Des publications récentes confirment l’efficacité des vaccins contre les variants sur la base d’essais in vitro et les données en vie réelle en Israël et au Royaume-Uni le confirment. Les données indiquent également qu’il faut les deux doses pour être pleinement protégé, la première dose n’apportant qu’une protection partielle de 30%.

Quels sont les effets secondaires fréquents des vaccins contre le Covid-19 ?

Après la vaccination, il est courant (>1/10) de rencontrer des effets secondaires bénins et temporaires tel que :

  • Douleur au point d’injection
  • Fatigue
  • Maux de tête
  • Pseudo-syndrome grippal avec de la fièvre
  • Douleurs musculaires

Ils se résorbent seuls, en 1 à 2 jours, avec éventuellement une prise de paracétamol.

Ces effets indésirables sont, rappelons-le, normaux et témoignent de la réponse immunitaire provoquée par le vaccin lui-même. Notons que l’absence d’effets secondaires ne préjuge en rien de l’inefficacité du vaccin.

J’ai déjà eu le Covid, dois-je me faire vacciner ?

Oui, on peut avoir le Covid-19 plusieurs fois… C’est soit une résurgence, soit c’est une autre souche.

Deux cas de figure ont été rapportés : chez certains patients, les symptômes du Covid-19 ont été plus sévères la deuxième fois et chez d’autres, les symptômes ont été moins sévères que lors de la première infection. La quantité d’anticorps neutralisants développés par les patients après une infection au SARS-COV2 est terriblement variable au fil du temps et selon les personnes. Certains ne vont quasiment jamais en produire, tandis que d’autres voient leur réponse immunitaire se renforcer au fur et à mesure. Une étude publiée dans le magazine Science met en évidence les effets bénéfiques d’un vaccin à ARN sur des patients ayant déjà eu le Covid.

Les quelques cas observés de réinfection par le virus du Covid-19 posent toutefois la question de la fréquence de ces nouvelles infections.

La bonne nouvelle est qu’il suffit d’une seule dose (pour les vaccins Pfizer, Moderna et Astra Zeneca) pour les personnes ayant déjà eu le Covid.

Peut-on se faire vacciner quand on est enceinte ?

Oui, voici à ce sujet les recommandations du CRAT (centre de référence sur les agents térotogènes) :

  • En prévision d’une grossesse
    • Il n’y a aucun délai à respecter entre une vaccination par vaccin à ARNm ou à vecteur viral contre la Covid-19 et le début d’une grossesse.
  • Découverte d’une grossesse après la 1ère injection
    • Rassurer la patiente quant aux risques embryo-foetaux des vaccins contre la Covid-19.
    • Rien ne s’oppose à l’administration de la 2ème injection, selon le schéma vaccinal recommandé.
  • Vacciner une femme enceinte
    • La vaccination contre la Covid-19 est possible en cours de grossesse, a fortiori en présence de facteurs de risques.
    • Compte tenu des données disponibles, de principe, on préférera :
      • utiliser un vaccin à ARNm
      • si possible, débuter le protocole entre 10 et 20 semaines d’aménorrhée, c’est-à-dire après la fin de l’organogenèse et suffisamment tôt pour que la femme enceinte soit protégée au 3ème trimestre.

 

Quand est-on complètement vacciné ?

Une vaccination complète équivaut à deux doses, une seule dose pour le vaccin Janssen, ou une seule dose pour les personnes ayant déjà été infectées par le Covid-19. On est complètement vacciné 14 jours après la dernière dose.

Quel taux de vaccination faut-il atteindre pour atteindre un seuil d’immunité collective satisfaisant ?

En raison de l’émergence de variants plus transmissibles, on évalue à 85% le taux de vaccination de la population permettant d’être un peu “tranquille” face au Sars-CoV-2.

Se faire vacciner est-il compliqué ?

Non, plus maintenant :

  • La vaccination est gratuite.
  • La période de pénurie de doses est terminée
  • Il y a des créneaux disponibles dans les centres de vaccination qui sont ouverts pendant les vacances et souvent les samedis et dimanches.
  • Il est également possible d’être vacciné chez son médecin traitant (généraliste ou spécialiste), chez son médecin du travail, en pharmacie, en cabinet infirmier ou sage-femme, ainsi qu’à domicile ou au sein des services où la personne est suivie.
  • Il est possible de recevoir la seconde dose entre trois et sept semaines après la première
  • Il est possible de prendre rendez-vous dans un centre différent pour la première et la seconde dose.

 

Les vaccins contre le Covid sont-ils toujours en phase d’essai clinique ?

Lorsque l’on commence un essai clinique, on définit par avance ce qui va être fait : la période, l’objectif et les critères. Pour les vaccins ARNm (Pfizer et Moderna), l’efficacité et l’innocuité ont été étudiées sur plus de 15 000 personnes en 2020.

Dans ces études de Phase III, les concepteurs ont donc défini une période plutôt longue pour étudier l’efficacité : la capacité du vaccin à protéger les personnes d’une forme symptomatique ou grave (nécessitant hospitalisation) de la COVID. La confirmation de l’efficacité a été obtenue rapidement car le virus circulant beaucoup, les risques d’infection dans le groupe contrôle et dans le groupe vacciné étaient élevés.  Cette période longue de l’étude Phase III va également permettre aux concepteurs de suivre l’évolution de la réponse immunitaire humorale (anticorps) et cellulaire (lymphocytes T) au cours du temps, et ainsi définir si la mémoire immunitaire perdure ou s’il faudrait prévoir un rappel. Avec une étude de suivi allant jusqu’en 2023 ils auront ainsi des données solides.

Cet argumentaire d’une étude qui serait “encore en cours” joue sur une non-connaissance du public de la manière dont les essais cliniques sont réalisés. Ainsi un amalgame est fait entre efficacité prouvée conduisant à une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle, et la continuité de l’étude visant à comprendre la persistance de la réponse immunitaire.  Il faut également rappeler que les personnes ayant reçu un vaccin Pfizer en phase 1 et 2 sont vaccinées depuis plus d’un an. Nous avons donc du recul. La pharmacovigilance existe et est capable de voir des effets indésirables sévères post vaccination s’il y en a.

Concernant l’efficacité et l’innocuité des vaccins, nous sommes en phase IV : Ce n’est pas une phase expérimentale à proprement parler, mais une phase de pharmacovigilance, après la commercialisation d’un vaccin. Cette phase 4 permet de suivre les effets à long terme du vaccin et permet de répondre à des questions comme la durée de la protection du système immunitaire après la vaccination, la proportion de porteurs sains (est-ce que des gens vaccinés qui ont développé des anticorps contre le coronavirus peuvent être quand même infectés et transmettre la maladie), etc.

Nous ne sommes pas des “cobayes” et une obligation vaccinale n’aurait rien d’illégale. Plus d’informations sur la licéité de l’obligation vaccinale ici.   

Les vaccins contre le Covid ont-il été développés à la va-vite ?

La rapidité des essais cliniques concernant la COVID-19 peut être expliquée par plusieurs facteurs :

  • Le financement n’a pas été un obstacle. Les industries pharmaceutiques n’ont pas eu besoin de faire des recherches de fonds qui durent longtemps et ont reçu des subventions des États. Des moyens financiers exceptionnels ont été donnés aux industriels du médicament pour le développement des vaccins (opération Warp Speed aux Etats-Unis par exemple).
  • Des milliers de scientifiques ont contribué à l’effort.
  • Plusieurs dizaines de milliers de personnes se sont rapidement inscrites pour participer aux essais cliniques testant les vaccins COVID-19 en 2020, alors qu’il faut souvent 12 à 18 mois pour recruter les participants pour ce genre d’essais.
  • Les vaccins ont été testés sur un plus grand nombre de participants que de nombreux vaccins antérieurs contre d’autres maladies.
  • En raison de la fréquence relativement élevée de COVID-19 dans la population, l’observation de l’efficacité des vaccins basée sur la survenue d’infections naturelles a été plus rapide que pour d’autres maladies plus rares.
  • Les entreprises pharmaceutiques ont commencé à investir dans la logistique et les processus de fabrication des vaccins dès le début de l’épidémie (en parallèle avec leur développement et les essais cliniques), de sorte qu’il n’y a pas eu de délai entre l’achèvement des essais cliniques et le déploiement des vaccins.

(Source Adios Corona)

Comment se faire vacciner ?

La vaccination ne s’effectue que sur rendez-vous :

  • sur sante.fr ;
  • par téléphone : 0 800 009 110 (7 jours/7 de 06h00 – 22h00) ;
  • auprès de votre médecin traitant ;
  • sur votre lieu de travail ;
  • sur votre lieu de soin.