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La kinésithérapie est un atout majeur pour aider au confort des nourrissons atteints de bronchiolite

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Le Conseil national de l’ordre des masseurs-kinésithérapeutes a pris connaissance des propos du docteur Yang sur le recours à la kinésithérapie respiratoire lorsqu’un enfant est atteint de bronchiolite dans un article paru ce lundi 4 décembre 2023 dans le journal Le Parisien.

L’Ordre ne peut qu’approuver ces propos, car en effet, comme il le dit, dans le cas d’une bronchiolite «la kinésithérapie va aider l’enfant à expectorer les glaires et faire une désobstruction au niveau des voies respiratoires basses, qui améliore la respiration. D’un point de vue pragmatique et pratique, l’enfant se sent mieux, mais se réencombre ensuite. C’est pour ces raisons-là que la HAS l’a enlevée des recommandations. »

La kinésithérapie aide effectivement l’enfant à se sentir mieux.

Ce n’est pas parce que la kinésithérapie ne permet pas de guérir plus vite, qu’il faudrait se priver de ses atouts pour améliorer le confort des enfants et leur permettre de mieux dormir et de mieux s’alimenter, ce que constatent les médecins et les kinésithérapeutes.

La kinésithérapie ne permet donc pas de guérir plus vite de la bronchiolite, mais augmente considérablement le confort de l’enfant, n’est-ce pas donc là essentiel ?

Pour aller plus loin :

Les recommandations de la HAS pour la prise en charge de la bronchiolite chez le nourrisson de moins de 12 mois